L’APROMAC PRÉPARE DE NOUVELLES ORIENTATIONS POUR UNE FILIÈRE HÉVÉA DURABLE

Les acteurs de la filière hévéa de Côte d’Ivoire sont réuni à Grand – Bassam pour s’engager sur de nouvelles orientations en matière de durabilité du caoutchouc naturel. Cet atelier s’inscrit dans le cadre des activités de la commission durabilité de l’APROMAC et vise à finaliser le document projet de la plateforme mondiale pour le caoutchouc naturel durable – GPSNR. Les projets énoncés pour cette initiative et qui feront l’objet d’une analyse détaillée dans chacune des trois commissions de cet atelier abordent plusieurs thématiques importantes. Ce sont d’une part, la question de la reconnaissance de la valeur des produits du bois d’hévéa comme moyen de diversification du revenu du planteur, d’autre part le développement et la diffusion de bonnes pratiques agricoles et en fin l’établissement de coopératives régionales de saigneurs d’hévéa. Plusieurs autres aspects motivent les travaux de cet l’atelier, au nombre desquels la nécessité de mieux apprécier les activités pour chacun des axes proposés sur la mise en œuvre de la durabilité au plan local, tout en précisant les budgets correspondants, les partenaires financiers, de même que le chronogramme d’exécution. L’atelier de Grand – Bassam se tient du 22 au 23 mars 2022 et regroupe des personnes ressources issues de l’administration de l’APROMAC, du Collège des producteurs de caoutchouc naturel constitués de la FPH-CI et des planteurs individuels, du collège des transformateurs réunis autour de l’AUPCN, du FIRCA, de la coopération allemande à travers la GIZ et de représentants de saigneurs. L’Association des Professionnels du Caoutchouc naturel de Cote d’Ivoire – APROMAC a été créée le 13 octobre 1975. Sa mission est de développer la filière hévéa par la professionnalisation des acteurs à travers le renforcement des capacités et le renforcement des moyens de production et de transformation.

SERCOM APROMAC / Guy Romain BRISSI

Un commentaire

  1. Bonjour Apromac,

    Je suis très heureux de bonne de ce secteur agricole.
    Je voudrais savoir, quels sont les besoins en matière d’infrastructures de semi transformation pour combler ce vide production – transformation.

    Si besoin il y a, quels sont les chiffres ?
    Apromac a-t-il besoin de partenaires dans ce sens ?

    Merci

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